Presse 2001 |
JadeWeb presse #5 |
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Presse 2002 |
Ferraille
#20 Dans
son numéro 20, Ferraille invite la jeune scène barcelonaise
dans un cahier spécial dont Nono Cadaver, Albert Monteys ou encore
le très énervé Elreydespaña. Relents de bière
et de tapas, cette scène là est bien punk et entend le revendiquer.
De leur côté, les cow-boys albigeois continuent de péter
les plombs joyeusement en proposant une kyrielle d’auteurs de la scène
indé française toujours aussi gratinée. Besseron
s’affirme de plus en plus avec les aventures atroces de Max et Jérémie,
entité bicéphale et cauchemarrante hantant les rades de
Poitiers (au hasard). Witko, Guerse, Druilhe, Pichelin, Gomé, Fritz
et au-delà des bandes dessinées on voit apparaître
un roman photo et se poursuivre la grinçante nouvelle de Lionel
Tran illustrée par Winshluss. Collectif
| Ferraille #20 |
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Cyberwar #1 Il
fallait oser, quand on sait à quel point les kiosques poussent
à toutes les dérives, proposer un titre aussi couillu que
ce Cyberwar. Composé de trois auteurs, Max, Y5-P5
et Captain Cavern aujourd’hui rares dans les publications et qui
ont fait les belles heures de Métal Hurlant et de l’undergrgound
du début des 90. Et donc Cyberwar se présente comme un journal
de bande dessinée de science fiction mais pas n’importe laquelle.
On est loin des plans bibliques foireux, des quêtes dégoulinantes
de stéréotypes éducatifs et même des attitudes
renfrognées de top models mal rasés exprès. Là,
Y5-P5 taggue ses pages de machines de guerre tribales et raconte avec
un regard d’enfant d’obscurs combats, Max poursuit les aventures de ses
robots insupportables tandis que Captain Cavern délire dans un
cyberspace de fête foraine. Un journal frais et inattendu. Collectif
| Cyberwar #1 |
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M'bolo M'bolo #6 M’bolo
M’bolo le retour. Toujours frais et de plus en plus habile, on se
régale à parcourir les remémorations de l’enfance
de Stef Ollier dans Mes années 70 ainsi que le bestiaire
qui se créé dans les strips de Poncho
Pampa. Rejoint par de nouveaux venus, Pic Pat et Denis Lee,
M’bolo M’bolo devient un fanzine plus que sympathique et largement
recommandable. Collectif
| M’bolo M’bolo #6 |
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