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La trame
Démonax est le plus grand bandit de l’univers. Après sa disparition
mystérieuse à Paris, il est recherché par un policier fatigué de
sa propre médiocrité, un journaliste belge en quête d’actions héroïques
et un malfrat jaloux accompagné de toute sa bande. Nul ne se doute
que Démonax est tombé aux mains d’un savant fou préparant des expériences
indécentes et servant sans le savoir un obscur complot contre la
République.
L’histoire
Paris tremble ! L’insaisissable Démonax échappe toujours à la police
française.
Le commissaire Lepitre s’arrache les cheveux à tenter d’élaborer
des plans pour capturer l’ennemi public n°1.
De son côté, le jeune journaliste belge Martin arrive à Paris pour
enquéter sur ce mystérieux bandit.
De son côté, le terrible chef de gang Ivanovitch enrage d’être de
fait, relégué à une place de vulgaire bandit de seconde zone. Il
doit frapper fort pour retrouver le premier rang.
De son côté, le professeur Glucol, savant vendu au plus offrant,
mijote un plan infaillible pour greffer les cerveaux et parvenir
à des fins pour le moins troubles.
De son côté, Monsieur Oscar, Baron de Saqueressac et ministre de
l’Intérieur, se voit confier par le Président la supervisation des
opérations de police. Mais Monsieur Oscar semble jouer un double,
voire un triple jeu...
De son côté, sa Majesté aimerait bien remonter sur le trône de France...
De son côté, une pulpeuse créature, en stase dans un immense tube
de verre, attend d’être ramenée à la vie.
Avec un revirement de situation à chaque page, des révélations toutes
les deux pages et un humour absurde et distancié, Démonax
se présente comme une parodie délicieuse des romans policiers populaires
et rocambolesques du début du XXe siècle (Leblanc, Allain et Souvestre
en tête).
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